Classement de l'impact écologique des sites des villes de plus de 100.000 habitants

Cette semaine, notre classement se focalise sur les villes de plus de 100.000 habitants. Ils ont la particularité d’être un bien public, de ne pas être dans la conversion de vente mais d’être dans l’information et l’expérience utilisateur, en particulier en mobilité.

Nous sommes fiers de notre ville de Rouen. (Le siège social de Webvert est à 15 km). Le site est à la première place! Et coincidence de la mesure, le deuxième est la ville ou j’ai réalisé mes études: Angers.

Mulhouse talonne ce classement, et des villes avec des populations réputées sobres comme Le Havre et Clermont Ferrand sont très bien classées.

Pour les villes du sud de la France, c’est plus compliqué, on est moins dans la sobriété.

Le score ne mesure pas l’empreinte totale du site mais la bande passante inutile du site pour un rendu équivalent.

Nous avons décidé d’itérer davantage la mesure en se rapprochant du mode de mesure du DPE (Diagnostic de performance énergétique) utilisé pour les logements.

En effet, la mesure totale de l’empreinte d’un site, comme un ecoindex le fait, c’est mesurer la taille totale de la maison. Spoiler : plus le logement est grand plus il pollue. Dans notre cadre, on mesure la qualité de l’isolation du logement. C’est à dire les pertes énergétiques inutiles du site web plutôt que la taille de son contenu.

Pour les logement l’unité est le kWhEP/m2 par an.

Notre mesure est le kWh/page pour 10 000 visites.

De cette mesure comme pour le DPE, on en sort un score dont l’échelle est basée sur la répartition et les scores de 300 sites (à ce jour).

En résumé, si vous êtes en A ou B. Merci à vous ! Au delà, une petite révision s’impose !